29.10.2020

RENCONTRE AVEC
JULIE BEN LAKHAL AU CŒUR DE
LA FÉDÉRATION PROJEUNES

RENCONTRE

ANIMATRICE, COORDINATRICE, GESTIONNAIRE DE PROJET ET MAINTENANT, SECRÉTAIRE GÉNÉRALE : ENTREVUE AVEC JULIE BEN LAKHAL, INVESTIE DANS LE SECTEUR DE LA JEUNESSE.

Au service des jeunes, défendant le progrès social tout autant que les droits fondamentaux : Julie Ben Lakhal, actrice engagée du secteur de la jeunesse, nous parle de son parcours, de la fédération ProJeuneS, de sa rencontre avec TYN.

 
 
 
 
 
 
 

Parle-nous de toi ?

 
 
 
 
 

Julie Ben Lakhal, née en 1983 à Woluwe Saint-Lambert; j’œuvre dans le secteur associatif depuis le début de ma carrière, comme animatrice, coordinatrice, gestionnaire de projets et aujourd’hui secrétaire générale. 

J’ai toujours eu à cœur de défendre et d’intégrer dans mes projets les notions de fraternité, d’intégration, de mixité, d’égalité et de paix. À tout point de vue, ses combats ont pris une part importante dans mes objectifs professionnels mais aussi personnels dans mes engagements divers et volontaires et principalement au sein du secteur de la jeunesse. 

Mes précédentes et actuelles expériences associatives, telles que la Vice-présidence du Conseil de la Jeunesse, le poste d’administratrice déléguée du MRAX, puis la Présidence et aujourd’hui le secrétariat général de ProJeuneS, m’ont permis de m’impliquer et même de contribuer à de nombreux projets porteurs entrepris depuis une dizaine d’années dans le non-marchand.

 
 

Peux-tu nous parler de ProJeuneS ?

 
 
 
 
 
 
 

Je travaille donc comme Secrétaire Générale depuis mars 2020 à ProJeuneS, la Fédération des jeunes socialistes et progressistes. Il s’agit d’un réseau d’Organisations de Jeunesse dynamique et diversifié au service des jeunes, fédéré autour de la défense des principes d’égalité, de liberté,de solidarité, de justice et de progrès social. Elle agit aussi dans le cadre institutionnel existant dans lequel se déploient les politiques de jeunesse de la Fédération Wallonie Bruxelles. 

En parallèle, ProJeuneS reste par ailleurs une Organisation de Jeunesse et contribue au développement des jeunes – par les jeunes – de leurs aptitudes personnelles, en vue de les aider à devenir des citoyens actifs, solidaires, responsables et critiques au sein de la société. 

J’ai sinon toujours vécu à Bruxelles, notamment dans le centre ville et du côté Est de la capitale. J’aime de surcroît y vivre, partager ou faire découvrir ses trésors culturels, ses histoires et légendes mais aussi y travailler et y développer divers projets. C’est justement dans ce dessein que nous avons mis en place à ProJeuneS, l’activité « Bruxelles en lutte », une visite de la ville qui détaille l’héritage des luttes sociales, au travers des processus d’organisation et de résistances citoyennes, afin de lutter contre les différentes formes d’oppression. 

Par ce parcours citoyen, nous avons souhaité mettre l’accent sur la nécessité de nous réapproprier l’histoire des luttes sociales de notre ville, en tant qu’élément fondamental dans la construction d’un regard critique et décolonisateur sur la société contemporaine.

 
 

Ta toute première rencontre avec TYN ?

C’est avant tout grâce au travail de réseau, significatif dans le secteur de la jeunesse, qui m’a permis de rencontrer personnellement l’équipe de TYN. J’étais Présidente de ProJeuneS à l’époque et TYN se renseignait pour obtenir l’agrément en tant qu’organisation de jeunesse.

 
 

Une relation d’échange, de confiance s’est rapidement installée entre nous. TYN a finalement rejoint la Fédération de ProJeuneS le 12 décembre 2019.

 
 
 
 

Quelle est ta vision sur l'asbl TYN ?

À ProJeuneS, nous avons été particulièrement enthousiasmé par l’ampleur du réseau de volontaires au sein de l’asbl mais aussi par l’initiative entrepreneuriale des créateurs de l’asbl

Effectivement, particulièrement chez TYN, l’apport en matière d’échanges de savoirs demeurent une source d’information, de formation et d’enrichissement inépuisable pour les jeunes de l’association mais aussi de l’ensemble du milieu associatif.

TYN travaille par ailleurs principalement avec un public issus des classes populaires. Pour ProJeuneS, conformément à notre identité et nos valeurs, c’est une initiative à soutenir. Le seul inconvénient unique, puisque TYN rentre entièrement dans les critères requis pour devenir une Organisation de Jeunesse, c’est que la Fédération Wallonie Bruxelles travaille actuellement avec une enveloppe fermée et que cela limite grandement les nouvelles entrées en matière de reconnaissance d’Organisation de Jeunesse.

 
 
Bienvenue à TYN dans la Fédération ProJeuneS !
Nous sommes heureux.ses de pouvoir collaborer, échanger,
partager, vous soutenir durant de longues années encore
et créer avec TYN, les perspectives de demain pour la jeunesse !

Envie d'en savoir
plus sur ProJeuneS ?

Pour les curieux.ses qui aiment la lecture, rendez-vous sur le site ProJeunes pour découvrir la Revue Pro J 35 du mois de septembre 2020 (une double page a été dédiée à TYN : encore un grand merci à ProJeuneS pour leur soutien et engagement) : c’est juste ici !  

 
 
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